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Dragon Ball une licence des années 80 toujours d’actualité
Dragon Ball si vous avez entre 40 et 20 ans en France, y a peu de chance que vous ne sachiez pas ce que c’est. Le manga est créé en 1984. Le personnage principal c’est Songoku. Le manga est toujours édité, adapté en plusieurs séries d’animation portant le nom de : dragon ball, dragon ball Z, dragon ball GT, dragon ball super, dragon ball daima, dragon ball heroes.
A la base, l’auteur Akira Toriyama voulait s’inspirer de la légende du voyage vers l’ouest mettant en scène Goku, le roi singe.
Dragon ball est une oeuvre phare de la culture populaire, arrivé du Japon en France en anime dans le club Dorothée et en manga via Glénat.
Au Japon, il est classique de voir des manga faits par des fans s’inspirant très fortement de l’oeuvre originale. On appelle ça des Doujinshi. Alors, souvent y en a des coquins, mais pas que. Y a des séries super bien faites, très sérieuses qui proposent des scénarios alternatifs très bons. En particulier, je recommande le DB After the Future de Young Jiji qui se déroule après Dragon Ball GT. Ce Doujinshi est tellement populaire qu’il existe des figurines des nouvelles transformation qu’il a inventé, et qu’il existe des traductions en Français que vous pouvez commander en ligne. Au final, sur une franchise comme Dragon Ball, qui a de nombreux produits dérivés, les Doujinshi c’est une bonne façon de repérer les futurs talents à recruter pour les jeux et autres produits dérivés.
Dès fois que vous n’arriviez toujours pas à voir qui est Songoku, un post instagram ou j’ai repeint une figurine du personnage en question :
J’ai aussi glané par-ci par là pas mal de graffitis d’artistes reprenant des personnages de Dragon Ball. Notamment Moya Uno qui fait de très belles pièces originales. Vous en trouverez d’autres sur mon compte perso instagram.
Les UDM goodies de gashapon
UDM c’est pour Ultra DeFormed. C’est des jouets porte clefs réservés au japon, distribués dans des gashapon, ces petits distributeurs de rue ou il y a toujours une part de chance sur ce que l’on va acheter.
Juste avant le COVID, avec mon cousin, on est allés au Japon et on est tombé sur ces jouets. D’abord à Akihabara dans l’un des multiples magasin de jouets de seconde main.
Et puis tout au long de notre séjour on a croisé des gashapon avec régulièrement des séries de figurines DBZ UDM différentes.
Du coup on en a ramené plein… mais quand je dis plein, c’est vraiment beaucoup.
Parce que Dragon Ball, c’est une licence phare de notre enfance et qu’on était sur que ça allait plaire à nos potes. Parce que moi je me suis mis en tête aussi de les collectionner et de les coller sur des petits socles. Et parce que au pire, ça allait bien intéresser des collectionneurs en France.
Au Japon, ils ont cette manie de sortir plein de goodies, produits en Chine, mais réservés à la vente sur le territoire Japonais. Du coup, tout ce que vous pouvez ramener d’un voyage là bas fait un cadeau original. Et ça fait le bonheur des collectionneurs qui vont les chercher en boutiques spécialisées ou lors de salons type PGW ou japan expo.
Vous pouvez en trouver en ligne. Elles se vendent autour de 5€, sachant que, au Japon, dans un gashapon quand elles étaient éditées c’était de l’ordre de 200 yen (mais vous ne savez pas laquelle vous allez tirer… et faut se payer le billet pour le Japon aussi).
Dragon Ball Heroes : le multivers Dragon Ball
A la base, les UDM font la promotion du jeu dragon ball heroes. Dragon Ball Heroes est un super objet transmedia. C’est un jeu vidéo qui se joue dans les Taïtos, salles d’arcade au Japon. Mais pour jouer il faut collectionner des cartes des héros que vous allez pouvoir invoquer dans les combats du jeu. Chaque joueur a un badge qui l’identifie dans la compétition nationale. Dragon Ball Heroes, dans sa première version en bornes d’arcade c’est une exclusivité Japon. Depuis, ils ont sorti une version console.
Et en complément du jeu, il existe une série animée d’épisodes très court et un manga. Objets promotionnel pour le jeu, Trunks devient un voyageur spatio-temporel qui va entrer dans le multivers de Dragon Ball. Les protagonistes de toutes les séries se croisent (un combat entre goku ss4 GT et goku super saïan blue, c’est possible) et de nouveaux personnages sont inventés.
Les cartes s’achètent dans des bornes, mais sont aussi souvent offertes en goodies avec un Jump ou un V-Jump. J’ai ramené plusieurs V-Jump et voici donc ma petite collection de cartes Dragon Ball Heroes. Elles sont très belles mais elles ne me serviront pas avant un prochain voyage au Japon peut-être un jour …
Si vous avez lu l’article jusqu’au bout et que ma démarche vous plait, n’hésitez pas à me soutenir !
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